Au mois de février, le sale mec, le sous-homme a encore amusé sa petite personne et la vermine imbécile et disgracieuse qui l'entoure en réinstaurant une extravagance de monarque : la chasse présidentielle.
Je ne ferai pas l'effort de paraphraser le reste de cet article qui dépeint si bien le ridicule de l'événement.
La caste aristocratique dépensière fomentant son œuvre démophage. J'espère voir un jour ces hommes subir le revers de la médaille, livrés à la rancune de l'humanité, à l'urgence du besoin, au poids de la solitude, voire à la rigueur des éléments et de la vie sauvage ; leur ridicule serait couvert par la honte et le désespoir.
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