Tous les présidents, sans exception, ont cédé à la tentation. Il leur a été offert de passer leurs mandats dans la plus fameuse demeure de France, aux frais du contribuable, tous ont profité de cette position pour améliorer nettement leur train de vie déjà enviable. Pour exemple les sept avions de Mitterrand pour un séjour au Zhaïre, mais la situation africaine exige même encore aujourd'hui de prendre des mesures de sécurité infaillibles ; les soirées mondaines offrant château et caviar à tous ces bien-aisés, et des centaines d'autres réjouissances similaires accordées à leurs majestés depuis l'aube de la République.Cependant, Nicolas Sarkozy est le premier a s'octroyer autant ses propres faveurs excentriques, tout inflation considérée.
VOYEZ VOUS-MÊMES.
De la dépense grasse, du bling bling obscène dissimulé sous la couche de jargon fiscal du rapport annuel de la Cour des Comptes. On félicite toutefois Sa Majesté pour les efforts qu'il a fourni dans la réduction de ses dépenses depuis 2009 alors qu'elles restent colossales.
